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Cette nuit, pendant que chacun fêtait joyeusement l’année naissante, 2011 s’éteignait dans l’indifférence la plus totale. Et pourtant…
Il y a un an, à la même date, c’était elle qu’on fêtait, qu’on acclamait, qu’on chantait. Et aujourd’hui qu’en reste-t-il ? Quelques souvenirs, dont on oubliera avec le temps s’ils ont pris place en 2011 ou l’année d’avant, ou peut-être celle d’après… Un peu comme un séducteur invétéré ne sait plus si c’est avec Josiane ou Jeannine qu’il est allé à Corfoue. Ou était-ce avec Françoise ?
Non, avec Françoise, c’était Maubeuge. Ou Châteauroux ?
Je sais pas vous, mais moi ça me rend un peu plus triste chaque année…
Qu’importe : 2011 est mort, 2012 vient de naître, c’est le grand et implacable cycle de la vie.
Que 2012 vous soit propice, et dure au moins jusqu’à 2013.
Et je souhaite surtout au 10 âmes perdues qui sont passées sur ce blog le 31 décembre 2011 entre 22h et 23h d’avoir mieux à faire l’année prochaine à la même date.
Moi je suis une âme de 1er au Matin!
Mais c’est vrai que j’aurai pu y aller hier soir aussi!
J’en suis peut-être aussi, de ces « 10 âmes perdues ». Et j’apprécie ta condescendance.
Mais bon sang, je suis en vacances, j’ai le droit de rien foutre un 31 décembre au soir, non ? Fasciste !
Nan, pas le droit. Le 31 décembre, on est heureux et on se bourre la gueule. Sous la menace s’il le faut, cf. ci-dessus.
Arf. Moi qui croyais qu’on pouvait être heureux tout en passant une soirée de 31 décembre peinard.
A qui dois-je me délationner ?
Aucune idée… A Jack Lang, ministre éternel du Festivisme ?