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Des souris et des hommes qui sont peut-être en fait des femmes, propagande anti-propagandiste, Que vive le Printemps Français
Rappelez-vous : suite à l’action des Identitaires à Solférino le 26 mai, lors de la grande manifestation aux Invalides, j’avais écrit un article où je racontais que des souris avaient été lâchées dans les locaux du PS. C’était une fiction, un doux rêve, mais certains y avaient cru, si bien qu’on m’en a reparlé plusieurs fois ensuite avec la certitude que c’était vrai.
Eh bien cette fois c’est vrai : le Printemps Français l’a fait.
Pour mémoire, le SNUipp, Syndicat national unitaire des instituteurs et professeurs des écoles et PEGC (ne me demandez pas ce qu’est PEGC, je n’en sais rien. Sans doute le Parti des étudiants de gauche et de CFOT – ce qui impliquerait de savoir ce qu’est le CFOT et nous mènerait trop loin), est ce syndicat qui propose à ses adhérents de lire à leurs élèves des bouquins où papa porte une robe et où Jean tombe amoureux successivement de Julie, Jeanne et Paul.

Ils proposent aussi ce genre de dessins, ce qui montre bien à quel point ils font grand cas du réalisme.
Le temps qu’ils passeront à aller acheter de la mort aux rats sera du temps gagné pour nos enfants. Rien que pour ça, merci au Printemps Français !
Et par ailleurs, dans la continuité de cette action, le PF a mis en ligne un site sur la théorie du genre, que vous pouvez consulter pour en savoir plus sur le genre et sur les façons de lutter contre sa diffusion, en cliquant sur ce lien.
Et vous trouverez également un autre site sur le sujet, très complet également, en cliquant sur « La théorie du genre » dans ma blogroll, ou sur ce lien.
PEGC: professeur d’enseignement général en collège…
Les PEGC, c’est quelque chose qui n’existe plus, à ma connaissance ( je n’en ai jamais croisé comme collègue): un professeur, qui, comme les instituteurs, était fixé dans une académie (pas de mutation à l’autre bout de la France, avec les avantages et les inconvénients que cela comporte- je crois qu’à l’origine, ce sont même d’anciens instituteurs), et qui enseignait deux matières au collège (parce qu’il n’avait pas passé le CAPES): une collègue de mes parents, enseignant dans le collège ou j’étais élève, enseignait ainsi physique et Sciences nat. (à l’époque, on ne disait pas encore SVT), une autre, français et histoire-géo.
C’est amusant, quand il faut casser du sucre sur la famille, c’est toujours des prénoms très « français » qu’ils utilisent… étrange.
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